Le succès n'est pas final. L'échec n'est pas fatal. C'est le courage de continuer qui compte.

Winston Churchill au rapport ce soir !
Citation simple, qui n'appelle à priori aucun développement.


Nouvelle invitation à relativiser les résultats, les conséquences de nos actions : ceux-ci sont temporaires, nous échappent sans doute un peu d'ailleurs, même si la citation ne le dit pas. En tout cas, ils ne nous définissent pas, ils ne sont jamais des buts, des lignes d'arrivée : ils ne sont que des étapes, qu'une pause sur un long chemin.
Succès et échecs sont passagers : on peut s'en servir, apprendre et progresser, se renforcer.
Mais l'important c'est le chemin, c'est de ne pas s'arrêter à ces signes superficiels, et d'aller au-delà, plus loin. S'arrêter sur un succès ou un échec, c'est mourir, c'est atteindre un but et ne plus en bouger, c'est s'enfermer soi-même dans une définition finie, limitante.
Notre volonté et notre courage reste le seul moteur et le centre de notre vie : c'est l'élément à l'origine du mouvement, de la direction, du sens. De par le mouvement que nous inspirons à notre existence nous lui donnons véritablement un sens.
Plus qu'une invitation à relativiser, c'est une exhortation au courage, au combat, un rejet du laisser aller ou de l'abandon. S'arrêter sur une victoire ou une défaite, c'est abandonner.