dimanche 30 juin 2013

Mon thème astral

Réalisé par une astrologue (voyante?) rencontrée par hasard par ma mère, en mon absence et à mon insu :)
Ça me permettra de vérifier les prédictions, ou à défaut de m'en amuser

En juin l'arrivé de Jupiter en Cancer va alléger tout ce qui pesait jusque-là. [Note : date exacte : 26 juin]
Amitié, travail, argent : tout va lui sourire (Jupiter = le grand bénéfique).

Amour : Nouvelle vie.
Possibilités de rencontre à partir de fin juin quand Jupiter entre en Cancer.
Accepter les invitations et laisser faire les choses en douceur.
A partir de Novembre quelque chose de fort pourrait se produire et le submerger : Vénus rejoint Pluton en Capricorne. Ce sera une évidence et une passion.

Travail et projets :
Jusqu'à fin juin : Saturne en Scorpion renforce sa capacité de travail et son sens de la méthode mais Jupiter dissonant en Gémeaux le disperse et le déconcentre. Tenir bon la barre, accepter que tout ne soit pas parfait!
Début juillet : tout change : Jupiter arrive en Cancer. Il apporte la facilité, la confiance et la reconnaissance et cela relance sa motivation. En plus, quelque argent ! Jupiter occupe la maison XI. C'est tout son environnement humain qui est favorisé : patron compréhensif, collègues sympathiques, appuis utiles ou partenaires solides > ça le rassure, le décomplexe et le met au top de ses possibilités.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------

Les proches :
Plaisir à se retrouver en famille. Bien relié à son signe en maison III. Saturne renforce le lien avec la fratrie. Jupiter s'installe en Cancer fin juin le fera gardien des traditions. Ne manquera pas fête de famille et anniversaire.
Amitiés : Jupiter le comble. Amis fidèles et prêts à vous entourer.

Forme :
Pas de laisser-aller.
1er semestre : dissonance Jupiter Neptune > laisser-aller : tendance aux excès et idées pas très claires.
Puis 2nd semestre : retour à la discipline : bien dans son corps, bien dans sa tête.
Fort mental pour envoyer valser soucis et maladies par la seule force du mental.

Novembre :
Mars dans son signe (Vierge) : activités professionnelles en plein boum. Côté mental, alliance Mercure-Saturne lui donne assurance mais Vénus-Pluton l'aide à maintenir le cap sur le plan financier et lui offre une période très amoureuse.

Image astrale :
jj/mm = 27° du signe de la vierge.
UN GRAND SOLEIL DANS UN CIEL SANS NUAGE
> lui assure d'être heureux.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------

Planète clé : Jupiter en Gémeaux 1er semestre : sème la pagaille puis à compter du 27/06 en Cancer devient un allié : soutient projets et apporte des amis en or.
Ami 20/3 : Saturne en Scorpion grand soutien
Plus de doute. Dans le travail, il relève de nombreux défis.
Assurance dans la vie personnelle avec choix plus affinés, une relation qui se construit et des amitiés en béton.
Planète clé : Uranus en Bélier : aide à trouver de bons plans financiers.
Planète clash : le gêneur Neptune en Poissons qui sème des embrouilles dans le couple et induit en erreur.
Planète clé : Pluton en Capricorne fortifie le mental et actionne la volonté à tous les niveaux.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------

Symbole de l'année : la Tempérance
Tarot qui place les relations humaines en tête de ses valeurs. Diplomatie, entraide, affection. Dans le rapport harmonieux à l'autre qu'il va trouver son équilibre.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------

Avec un horoscope comme ça, comment ne pas avoir un grand sourire?
Je vois au mois cette utilité à toutes les divinations : lorsqu'elles sont positives, elles donnent le sourire et regonflent la confiance en soi, en l'avenir.
Par contre, elles auraient été négatives, aurais je trouvé la force de me dire que ce ne sont que des divinations, sans en garder la moindre trace en tête, la moindre angoisse? Mon esprit de contradiction aurait il été assez piqué au vif pour me dire que je serai plus fort que ces prophéties? Il faut l'espérer :)
Là je n'ai plus qu'à me laisser porter et lâcher prise, laisser faire les choses... si j'en suis capable :)

mardi 18 juin 2013

Ne pas se forcer à penser ; mais noter aussitôt chaque pensée qui se propose

Une dernière citation d'Alain pour la route.
Elle représente un peu l'essence de ce blog : son existence me pousse à noter mes pensées dès que je peux, pour y revenir un peu plus tard. Je constitue ainsi un petit stock de pensées ou de sujets. Même si parfois, ça a du m'arriver de me forcer à penser, histoire de créer un post.
Mais bon, une fois l'idée notée, il faut bien passer un peu de temps pour la développer, et donc se forcer un peu à penser.

La citation s'applique sans doute davantage à la première étincelle de l'idée, pas à son développement. Se forcer à chercher cette étincelle est fatigant, usant et peu efficace. Un peu de sérendipité avant l'heure en quelque sorte.

lundi 17 juin 2013

Un avare volé se plaint d'être volé ; il ne se plaint pas d'être avare.

Autre citation d'Alain (je suis tombé sur une mine :) )
A rapprocher de mes propos sur l'homme dans L'abondance nuit : l'homme n'identifie pas naturellement les causes réelles de ses problèmes, surtout quand ces causes sont liées à lui-même et bousculeraient ses habitudes, ses croyances, l'image qu'il a de lui même ou simplement son confort...

La remise en cause de soi n'est pas une pratique très répandue,
la citation le montre dans des conditions extrêmes : j'adore :)

dimanche 16 juin 2013

Une idée que j'ai, il faut que je la nie; c'est ma manière de l'essayer

Citation de Alain.
Que je trouve nécessairement admirable puisque j'ai la même pratique.
Rien ne vaut mieux que de se faire l'avocat du diable, que d'essayer de nier sa propre idée pour essayer de la valider... Faire la même chose avec les idées des autres est tout aussi instructif : à la fois sur l'idée et sur la personne. Par contre, c'est sans doute plus dangereux :)

Consommation : liberté et conditionnement

Citation de Robert Rochefort, toujours tiré de Trop vite ! de JL Servan-Schreiber :
La consommation m'a toujours fasciné, car c'est à la fois un élément de conditionnement majeur, et de liberté individuelle absolue. Avec des euros en poche et une carte de paiement, on n'a de comptes à rendre à personnes. Il suffit d'être solvable!

Dualité de la consommation, souvent décriée (moi le premier) pour ses mécanismes d'aliénation, de conditionnement. On devient ce qu'on consomme, et on consomme selon les désirs des fabricants et des agences de pub, l'uniformisation est totale.
On oublie souvent, même si on le vit, son côté jubilatoire, lié au sentiment de liberté et de pouvoir présent dans l'acte de consommer, d'acheter. Qui n'a jamais fait les magasins en période de déprime? (essayez!)

Même si, bien entendu, cette liberté et ce pouvoir ne sont que les fruits d'efforts précédents, issus d'une autre forme d'aliénation, celle du travail.

On peut toujours se demander si le jeu en vaut la chandelle : ça reste une question de confort. Il est plus confortable d'intégrer la société de consommation plutôt que de vivre reclus. Et c'est aussi sans doute plus efficace, reste à voir à quoi nous sert ce surplus d'efficacité...

samedi 15 juin 2013

De la satisfaction des besoins à la fabrication des désirs

Citation de Paul Mazure rapportée par JL Servan-Schreiber dans Trop vite!
Les propos datent des années 20...1920 :)

Voilà, entre autre, à quoi nous a conduit le progrès : au confort.
Nos besoins primaires ont été satisfaits depuis longtemps, pour ceux qui ont la chance d'accéder à Internet :) se nourrir et dormir n'est plus un réel problème.

Nous ne sommes pas dupes, nous savons bien que maintenant, et ce depuis longtemps, les sociétés cherchent à nous vendre du rêve, à créer des envies, des désirs, se ce n'est des nouveaux besoins.
Certes, on peut y voir une marchandisation extrême : dans le but de faire du profit, des chercheurs inventent des produits qui ne répondent à aucune demande exprimée, et les services commerciaux et marketting se chargent de l'enrobage.

Mais on peut aussi se demander d'où viennent les désirs de chacun.
Certains viennent purement de notre imagination : chacun de nous a un pouvoir créatif et l'utilise plus ou moins bien, certains inventeurs de génie laissent leurs traces dans l'histoire. Tout le monde n'a pas eu envie de voler ou de vérifier si la terre était ronde, certains s'y sont attelés.
Une partie vient de nos propres découvertes, sans création personnelle.Nous n'allons pas passer nos vies à réinventer la roue, et bien entendu nous nous appuyons sur tout ce que le monde a su créer jusqu'à nous. Je désire dormir dans un grand lit, me déplacer facilement à vélo ou en voiture...
Et la plupart des désirs viennent d'un certain mimétisme :
soit individuel, et cela se rapproche de l'envie. Je vois mon voisin posséder quelque chose qui le rend heureux, je veux la même chose. La seule différence avec la catégorie précédente tient au temps : ce mimétisme est présent, l'autre est intemporel ou tourné vers le passé, l'existant. Celui-ci peut être un simple effet de mode, alors que le précédent s'est installé dans les moeurs.
soit social. Tout le monde prend soin de son corps aujourd'hui, tout le monde veut faire un peu de sport, tout le monde veut voyager, découvrir de nouvelles choses, tout le monde veut apprendre, gagner plus d'argent. Là, on ne cherche même plus à être heureux, mais à faire comme les autres... peut être avec l'espoir que ces légendes urbaines soient vraies : les voyages apportent la joie, l'argent aussi..etc...

Donc, oui, les sociétés visent à créer de nouveaux désirs, de nouvelles modes. Mais de la même manière que les religions d'aujourd'hui sont les sectes d'hier, les habitudes d'aujourd'hui sont d'anciennes modes, qui ont su résister au temps. On peut voir cette manipulation mercantile comme étant diabolique, ou juste voir ça comme un catalyseur à inventions. Comme souvent, il tient à nous de ne pas être passif et de ne pas nous laisser manipuler par les faux désirs, de ne pas être une victime de la mode ou de la société. C'est de notre responsabilité d'être conscient de tout ça, et de choisir notre voie.

PS : la question du désir amoureux reste posée ;) Je ne retrouve plus la citation qui dit en substance que certains ne tombent amoureux que parce que certains romantiques ont écrit des livres... Si je retrouve cette citation, il faudra que je pense à la rapporter ici.

lundi 10 juin 2013

Fauve ≠

Tu te demandes si tu es une bête féroce ou bien un Saint
Mais tu es l'un et l'autre
Et tellement de choses encore
Tu es infiniment nombreux
Celui qui méprise
Celui qui blesse
Celui qui aime
Celui qui cherche
Et tous les autres ensemble
Trompe-toi
Sois imprudent
Tout n'est pas fragile
N'attends rien d'autre que de toi
Parce que tu es Sacré
Parce que tu es en Vie
Parce que le plus important n'est pas ce que tu es mais ce que tu as choisi d'être

(Blizzard ≠ Fauve)

Groupe découvert il y a peu : Fauve http://fauvecorp.com/
Paroles entre prière, invocation et provocation, je pourrais toutes les mettre ici tellement elles sont fortes, tellement elles transmettent leur énergie ! Leur objectif est atteint, le frisson est là, on se sent épaulé, boosté, on ne se sent plus seul... tant pis si ça ne dure que le temps d'un morceau, on peut le ré-écouter à l'infini.

Tout est là : les contradictions humaines, liées à son essence même, sa pluralité, son imperfection, ses défauts, l'encouragement aveugle pour avancer, pour vivre, pour s'accorder le droit à l'erreur, l'invitation à l'imprudence, le caractère divin de chacun, de notre volonté, de notre libre arbitre, de nos choix.
Tout est possible ! Nous ne sommes plus seuls !

dimanche 9 juin 2013

Cesse de penser que tu causes de l'embarras...

Petit commandement trouvé dans Véronika décide de mourir de Paulo Coelho, dans son intégralité :
Cesse de penser que tu causes de l'embarras, que tu déranges ton prochain ! Si cela ne leur convient pas, les gens n'ont qu'à se plaindre. Et s'ils n'ont pas le courage de se plaindre, c'est leur problème.

Ceci rendrait la vie plus simple, mais n'est pas si simple que ça à faire. On est naturellement attentifs aux besoins des autres, on est programmés, éduqués pour faire ce qu'ils attendent de nous : parents, professeurs... et nous reproduisons ce schéma sans véritablement nous en rendre compte. La peur du rejet, de la solitude reste ancrée en nous : il est difficile de s'en débarrasser, le meilleur moyen est sans doute l'abondance de relations :)... ou le détachement.

J'aime particulièrement l'égoïsme présent dans ce commandement : le souci des autres doit avoir des limites, on doit les responsabiliser un minimum et ne pas se restreindre, s'auto-censurer trop facilement. Ceci est un frein à la vie, au bonheur, ou en tout cas à un certain épanouissement personnel. Il vaut mieux s'assumer soi même, être soi même quitte à déranger un peu les autres, à passer pour fou (thème central du bouquin...)

Cultivons notre folie plutôt que de nous laisser enfermer dans une norme, dans un moule formé par la société et le regards, les attentes des autres.

Il ne me reste plus qu'à travailler ça pour l'appliquer...