vendredi 14 février 2014

Another dream

Dernier rêve en date :
je crois que j'étais jeune, en train de jouer aux échecs avec mon frère, à même les carreaux de la table de la cuisine, avec de grandes pièces. J'étais en mauvaise situation, en train de perdre.
Je me retourne quelques secondes, puis reviens au jeu, et me rends compte que mon frère a bougé toutes les pièces. Ça m'énerve, je râle comme toujours face à mon frère, même si apparemment il a juste translater les pièces un peu plus au centre de la table, les positions relatives seraient restées inchangées. Mais ça m'énerve quand même : entre le mauvais joueur, l'autiste et le fait que je ne supporte pas qu'il est fait ça dans mon dos... avec le seul but de m'énerver.

Je vais aux toilettes (je crois que c'est le même rêve :p), je vais pour m'asseoir et là j'aperçois un visage féminin, pâle, vieux, trop ridé pour être vrai. Je réalise que j'ai en face de moi une espèce de fantôme -j'en ai des frissons à l'écrire-, que je vois à travers la porte, de l'autre côté. Je sens l'adrénaline et la panique monter en moi, je tourne la tête comme un fou, comme si je cherchais une issue, ou à voir ailleurs. Mais à chaque fois je retombe sur ce visage. Ça me glace le sang et me donne la chair de poule, dans mon rêve et au présent. Je vois une autre personne (toujours à travers la porte) s'approcher de ce fantôme féminin...

Et je me réveille !
Angoissé, oppressé, comme d'habitude...

Interprétation : ?? délicate :) mais j'abandonne pas. Simple retour en enfance pour la première partie, à jouer aux échecs et me faire embêter par mon grand frère, simple expression de mon irritabilité. Pourquoi la cuisine? Je l'ignore. Seconde partie plus délicate, mais ce n'est pas la première fois que je rêve d'un fantôme : un passé qui revient me hanter?

Les fantômes et en fin de compte toutes les mythologies ne viennent ils pas des rêves, et de leur interprétation? Les rêves sont ils encore plus puissants que l'imagination consciente? Comme quoi on n'est jamais aussi puissant que lorsqu'on s'abandonne, qu'on s'efface...

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