Ça fait un petit moment que je voulais écrire un article sur cette certitude qu'il faut s'évertuer à cultiver... un petit extrait d'un bouquin aura suffit à me débloquer !
A rapprocher de l'article sur le pessimisme d'humeur et l'optimisme de volonté ou de la citation de Rostand : c'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière.
Bref, je pense qu'on a tout intérêt à cultiver cette certitude, voire à s'en auto-persuader. Elle éclairera le reste de notre vie et évitera de sombrer, nous guidera. J'ai toujours eu peur d'arriver à un moment dans ma vie en me disant que le meilleur était derrière moi : comment vivre après ce constat ? Je l'ignore, et préfère je crois ne jamais arriver à ce triste constat. Le meilleur moyen d'y arriver est donc d'adopter la certitude contraire. Tant pis si ce n'est qu'une croyance : une croyance est une certitude que l'on a choisi, c'est tout (tiens ça ferait bien un autre article ça...). Nous manquons de croyance à notre époque (en tout cas moi, oui), autant en choisir une personnelle, qui ne soit pas basée sur du métaphysique ou des promesses lointaines, mais qui apporte une force au présent.
Il faut se le répéter..
d'où sans doute mes 3 articles sur le sujet, qui se ressemblent... signe que ça prend, sans aucun doute :)
Pour finir, le petit extrait du bouquin (Avec le diable, de J Keene et H Levin) qui m'a fait repenser à tout ça :
[Mon père] croyait sincèrement que je pouvais soulever des montagnes et que le meilleur de ma vie était devant moi. Mais je l'entends encore dire, de sa grosse voix retentissante : "Il est temps de t'y mettre, fils. Il est temps de t'y mettre."
Go ! :)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire